mardi 8 novembre 2011

Modern Warfare 3: De l’excellent et de l’immoral!

Voici mon premier post sur MW3… Je n’ai encore touché qu’à la partie compagne et un peu de mission en coopération.

Avant tout, je dois avouer avoir été très surpris de le voir en tête de gondole à la FNAC le Samedi matin, alors que sa sortie était prévue aujourd’hui seulement. La mise à disposition du jeu avant la date officielle reste très problématique quant elle se fait ouvertement. En effet, le service de jeu sur le live était évidement fermé et vous pouviez rencontrer un message d’erreur ou une attente infini pendant ce weekend. Lorsqu’elle se fait “sous le manteau”, ceci ne pose pas de problème car les acheteurs savent de quoi il s’en retourne. J’ai entendu de nombreux fans l’ayant acheté dire que le Xbox Live était nul car ils n’arrivaient pas à se connecter au mode multi-joueurs de MW3! Bravo pour l’expérience.

 

Maintenant, le jeu est impressionnant détails et possède un graphisme époustouflant. Les villes y sont reconstituées à merveilles (même si on a pas trop le temps de contempler). J’ai quand même trouvé le niveau de difficulté plutôt faible, même en vétéran. Le jeu est clairement orienté pour une expérience Live maximisée!

Un bémol sur une scène violente et inutile: Vous êtes un père dans les rues de Londres, proche du Big Ben, filmant votre femme et votre fille d’environ 6 ans. Un camion s’arrêt à proximité. Le film continue, mais une bombe explose à 2 mètre de votre fille, libérant ses agents neuro-toxiques. Et je ne parle pas de la scène où il faut nager entre les corps flottant dans l’eau… Infinity Ward a même essayé d’expliquer le massacre de l’aéroport de MW2…

On retombe dans les travers de Modern Warfare avec une violence gratuite sur des civils (voir mon post précédant sur MW3). Un jeu est beaucoup plus immersif qu’un film et on ne doit pas utiliser les même ficelles, car nous ne sommes pas spectateurs mais acteur de MW3. C’est vraiment dommage de vouloir susciter de l’émotions en prenant de telles décisions. Peut-on même parler d’irresponsabilité?

 

L’apprentissage du métier…

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